Le 9 juillet, mon vieux fond de technicien
m'a donné envie de visiter un musée des
sciences et des
techniques, et là je suis comblé...
Je pourrais y passer des semaines entières.
Dans le hall d'entrée, le moteur de Monsieur Diesel (recto)
Verso
Un métier à tisser à programme par cartes perforées,
en somme, les premiers automates.
Les première machines outils, ici un tour parallèle,
là une perceuse à colonne
et une presse à emboutir.
C'est avec ces machines, encore simples, que des prodiges ont été réalisé, pour le meilleur et pour le pire.
Ici une machine à broder.
A l'étage, tout un secteur alloué au génial Konrad Zuse, pionnier de l'informatique. Konrad Zuse — Wikipédia
Ici, le Z1, Zuse 1 — Wikipédia
Les bascules bistables, ou mémoires.
Le programme.
Les caractéristiques !
Un des nombreux modèles.
Les premiers, à lampes, comme les premiers postes de radios : Zuse 3 — Wikipédia
Un peu plus tard, les premières cartes électroniques à transistors (1960 ?)
Une alimentation, il n'y avait pas besoin de radiateurs dans la pièce ! (4 000 w)
Un câblage, "en l'air"
Ce Z 90, est capable de piloter une table traçante (sur la fin de l'aventure)
En entrée ou en sortie une machine à écrire du moment. Zuse 4 — Wikipédia et Zuse-Z4-Totale deutsches-museum - Zuse 4 — Wikipédia
Les programmes et les données sont stockés sur des bandes magnétiques
Un tout petit exemple de schéma électronique
Derrière ce magnétophone un système frigorifique pour tempérer le système.
A gauche, un module pour recevoir des cartes électroniques optionnelles.
Et la base de tout, le codage binaire, ici de l'alphabet.
Ce secteur représente peut-être le cinquantième de l'ensemble du musée !
Page d'accueil : Chapelle des BoisJe pourrais y passer des semaines entières.
Dans le hall d'entrée, le moteur de Monsieur Diesel (recto)
Verso
Un métier à tisser à programme par cartes perforées,
en somme, les premiers automates.
Les première machines outils, ici un tour parallèle,
là une perceuse à colonne
et une presse à emboutir.
C'est avec ces machines, encore simples, que des prodiges ont été réalisé, pour le meilleur et pour le pire.
Ici une machine à broder.
A l'étage, tout un secteur alloué au génial Konrad Zuse, pionnier de l'informatique. Konrad Zuse — Wikipédia
Ici, le Z1, Zuse 1 — Wikipédia
Les bascules bistables, ou mémoires.
Le programme.
Les caractéristiques !
Un des nombreux modèles.
Les premiers, à lampes, comme les premiers postes de radios : Zuse 3 — Wikipédia
Un peu plus tard, les premières cartes électroniques à transistors (1960 ?)
Une alimentation, il n'y avait pas besoin de radiateurs dans la pièce ! (4 000 w)
Un câblage, "en l'air"
Ce Z 90, est capable de piloter une table traçante (sur la fin de l'aventure)
En entrée ou en sortie une machine à écrire du moment. Zuse 4 — Wikipédia et Zuse-Z4-Totale deutsches-museum - Zuse 4 — Wikipédia
Les programmes et les données sont stockés sur des bandes magnétiques
Un tout petit exemple de schéma électronique
Derrière ce magnétophone un système frigorifique pour tempérer le système.
A gauche, un module pour recevoir des cartes électroniques optionnelles.
Et la base de tout, le codage binaire, ici de l'alphabet.
Ce secteur représente peut-être le cinquantième de l'ensemble du musée !